Hack 6x touch : fan fiction à Keiichi

[ Avant de vous mettre mon texte, je tiens à signaler que cette fan fiction date d'il y a plus d'an et que mon style d'écriture à changé depuis. D'ailleurs, celle-ci est en cours de réécriture et d'amélioration de scénario.
Pour ceux qui pensent que mon histoire ressemble trop à du death note, attendez de lire les prochains chapitres que je mettrai si vous voulez la suite.]

Hack 6X touch

Connection 1 : to be connect or not…


Les nouvelles du journal d’aujourd’hui n’étaient pas très bonnes : deux meurtres dans le ghetto de Shinjuku et prise d’otages dans la banque Nippon hana. Bref, la journée commençait mal. La gare, comme à son habitude, se trouvait envahie par les centaines de personnes partant travailler ce jour-ci. Yuu arpentait les couloirs avec son journal à la main et son skate dans l’autre. Il avait des cheveux noirs en bataille et de magnifiques yeux bleus. Il portait toujours une chemise noire et un jean à moitié déchiré. Equipé d’un énorme casque baladeur et d’un sac à dos, il avançait dans la nuée sans se soucier de personne. Il avait 17 ans et était au collège Sakuranomi, un collège de haut niveau pour les personnes avancées. Son hobby… c’était l’informatique. Depuis 3 ans, il passait ses après-midi sur la toile ou sur ses programmes de piratage, ce qui ne l’empêchait pas d’avoir les meilleures notes du japon et d’être le numéro 1 des élèves du pays.
Il arriva devant les caisses et se dirigea vers le numéro 2. Une jeune femme aux longs cheveux noirs tenait la caisse depuis le début de la matinée. Yuu s’approcha d’elle avec un billet de 1000 yens.

-Un billet pour l’université de Todaï s’il vous plaît.
-D’accord... cela vous ferra 500 yens. Bonne journée.

Il prit son billet et se dirigea vers les quais.
Il passa le quai numéro 1 et s’arrêta devant les lignes jaunes de sécurité. Il tourna la tête de tous les côtés et n’aperçut personne, sauf une étrange valise noire au bord d’un banc…

-… Pourquoi n’y a t’il personne aujourd’hui? Ce quai est pourtant le point central de la ville.

Il s’approcha de la valise et regarda les inscriptions inscrites dessus. Il était écrit :
Hack use
Yuu la regarda d’un air étrange et se mit à genou pour mieux l’observer. Regardant de tous les côtés pour voir s’il n’y avait personne, il ouvrit la valise. Elle contenait un ordinateur noir avec des traces argentées sur le côté. Le même nom que sur la valise était inscrit sur le dessus. Yuu dit alors :

-Un ordinateur… Je pourrai le prendre… Mais c’est mal de voler des choses qui ne nous appartiennent pas… Tant pis.

Il referma la valise et l’emmena avec lui dans le train.

Yuu était assis, pensif, sur une banquette noire. A part lui, il n’y avait personne dans le train et tout cela l’intriguait. Il fixait continuellement la valise qui se trouvait sur la banquette en face. Quelque chose en lui voulait la lui faire ouvrir pour utiliser l’ordinateur, mais Il avait un très mauvais pressentiment. Il regarda par la fenêtre le ciel gris de Tokyo.

-Depuis bientôt 10 ans, le monde se bat pour essayer de combattre la décomposition de la terre, mais tous les pays savent que cela ferait tomber leur profit alors personne ne fait rien. Nous sommes en 2015 et rien ne change… Le monde est pourri…
Les politiciens se font la guerre entre eux et le système est pourri aussi de l’intérieur. La police est corrompue… Il faut que ça change !

Il tourna son regard vers la valise et s’en approcha d’un air sérieux. Il mit ses mains sur les charnières et les ouvrit. L’ordinateur brillait malgré sa couleur noir nuit. Il le prit dans ses mains et le posa sur ses genoux. Il souleva l’écran et admira la splendeur. Toutes les touches semblaient normales sauf une touche rouge sur le côté. Au lieu des F1, F2 , etc.
Il y avait 6 touches dont le nom ne revenait pas à Yuu :

1) control
2) create
3) erase
4) memory
5) die
6) connect

Yuu fut surpris par ces touches et se posa la question de savoir ce que cela voulait signifier.

-Je n’ai jamais vu ça auparavant… Et puis le fait qu’il était là au milieu du quai est étrange. Je pourrais en savoir plus sur son propriétaire en regardant les fichiers.

Il appuya sur le bouton d’allumage et attendit qu’il s’allume.
Un message apparut sur l’écran. Il était écrit dans les mêmes caractères que ceux inscrits sur la valise.

Tout Humain Utilisant Cet Appareil Est Prévenu De Ce Qu’il En Courra. Il Ne Doit Être Utilisé Qu’à Bon Escient. Dernier Avertissement : N’Appuyer Jamais Sur La Touche Rouge...
Josh Penber

Yuu sursauta en lisant ce message. L’écriture était vieille et n’était plus utilisée aujourd’hui. L’ordinateur arriva ensuite sur l’écran des sessions. Il y en avait deux :
-Use
-Death session

La première session de demanda pas de code, mais la deuxième était bloquée par un mot de passe dont l’indice était le suivant :
Retour à la source.

-Cet ordi dégage une sensation étrange. Il n’est pas comme les autres et une atmosphère maléfique s’en dégage...
-Tu as raison...

Yuu sursauta et regarda toute la pièce et ne vit personne. Qui avait alors parlé ? Il regarda alors l’écran et vit le visage d’un jeune homme de 25 ans. Il avait un chapeau rouge et de longs cheveux bruns. Il portait une veste brune et avait le même ordinateur sous le bras. Il ria et lui dit.

-C’est la première fois que tu vois ça hein ? Je peux comprendre... Tu n’es qu’un humain de toute façon. Je m’appelle Josh Penber. Je suis l’inventeur de ce superbe ordinateur que tu tiens sur tes genoux. Mais patiente deux secondes.
-Quoi ?

Le mystérieux jeune homme sortit de l’ordinateur telle une image holographique et entra dans le corps de Yuu. Yuu rouvrit les yeux et regarda la pièce. Rien n’avait changé. Soudain, le visage du jeune homme réapparut devant Yuu avec un regard sérieux. Il sursauta comme un dingue et le regarda. Le jeune homme lui dit :

-Alors tu te réveilles ? N’aie pas peur, je ne vais pas te tuer, dit-il avec un rire ironique
Ce que tu tiens dans tes mains est le chef-d’œuvre de toute une vie... Le Hack Use !
-Le hack use ?...
-parfaitement, cet ordi peux tout faire, mais avant laisse moi mieux me présenter.
Je suis Josh Penber, et suis originaire des Etats-Unis. Je suis un Hacker Professionnel. Enfin... étais.
-Etais ?
-Oui, je suis mort il y a 10 ans exactement sur cette valise. Et depuis mon esprit erre dans cet ordinateur. J’étais le meilleur Hacker au service du président des Etats-Unis, mais je préparais un complot dans l’ombre avec quelques amis pour détruire tout le système informatique du pays et ainsi prendre le pouvoir. Mais je fus trahi...
-Et pourquoi tu voulais prendre le pouvoir ?
-... Je ne préfère pas le dire. C’est mon secret, répondit-il en souriant
-...Qu’est ce que tu m’a fait là maintenant ? Pourquoi l’ordinateur était là alors que tu n’as pas pu le déposer vu que tu es mort ?
- Je ne pourrai pas te répondre à la deuxième question, mais je vais tâcher te t’expliquer un maximum de chose...
-Qui est-il vraiment ? pensa Yuu

John se mit en face de lui, assis sur la banquette et croisa les bras. Il soupira un instant tout en regardant le ciel gris qui surplombait la ville. Plus il le regardait, plus ses mains se serraient sur ses bras et tremblaient. Il tourna la tête vers lui et lui dit.

-Je suis entré dans ton esprit. Plus personne d’autre que toi ne pourras m’apercevoir. Je suis né il y a 25 ans exactement aux Etats-Unis. Mon père travaillait au gouvernement américain auprès du président. Mais il fut assassiné à cause de ses idées écologiques et pacifistes avec les autres pays du monde. J’avais donc organisé une brigade spéciale : le World’s hack. Nous voulions prendre le pouvoir et rétablir un certain équilibre de paix dans le monde. Mais les ambitions de certains étant trop grandes, je fus tué et jeté dans les mers du sud. J’ai fait alors une promesse aux dieux et à ces insignifiants humains...
Tuez moi des millions de fois ! Je réapparaîtrais des millions de fois ! Je prendrais le monde en otage et redémarrerai la planète et tous ses habitants.

Yuu écoutait attentivement l’histoire de Josh. Enfin, c’est ce que l’on croyait. Il cachait ses yeux derrière ses cheveux, sans que l’on puisse voir une seule expression. Après le discours de son voisin. Il sourit et regarda l’ordinateur. Il l’ouvrit et entra dans la session Use.
Il appuya sur la touche control et le programme Word s’ouvrit. Il marqua quelque chose en deux secondes et ferma le programme. Il alluma Internet et alla sur le site de la TV en direct. Un flash spécial se diffusa alors. La présentatrice annonça alors.

-Les deux criminels ayant commandité la prise d’otage de ce matin viennent de se rendre à la police en leur donnant arme et bombe nécessaires à la prise d’otage. Ils se font en ce moment, interroger par les inspecteurs chargés de l’enquête pour obtenir de plus amples informations.
La police reste tout de même surprise par la réaction des preneurs....

Yuu ferma Internet et regarda Josh droit dans les yeux. Il riait encore plus qu’avant et semblait se délecter par les nouvelles. Il lui dit.

-Tu veux rétablir le monde c’est ça ? Apprends qu’en 10 ans le monde a bien changé et que tu auras besoin d’un assistant. Je suis un spécialiste dans l’informatique et un pirateur de premier choix. Le monde est devenu pourri. Je voulais tester les pouvoirs de ton ordinateur et voir si ce que tu me disais était vrai. Il n’a pas été compliqué de comprendre ce que voulaient signifier les 6 touches. Je veux débarrasser aussi le monde des politiciens véreux, des criminels et des dictateurs qui dirigent aujourd’hui le monde. Associons-nous pour réaliser nos objectifs. Qu’en penses-tu ?

Il tendit alors la main à Josh avec un sourire machiavélique. Josh le regarda deux secondes et ria plus encore que Yuu. Il tendit alors sa main mais traversa celle de Yuu. Il ria encore plus et lui dit.

-D’accord le *futur dirigeant du monde*. Je veux bien te voir à l’œuvre pendant quelques temps. Régnons ensemble sur le monde !

Ils sourirent tous les deux et regardèrent l’ordinateur avec un air de pouvoir et de soumission. Josh pensa alors.

-Il a compris le sens des touches et comment elles fonctionnent... Il sera peut-être... mon descendant attitré. Nous vaincrons le monde entier !

Au bout d’une demi-heure, Yuu sortit du train avec son nouvel ordinateur dans les bras et un grand sourire aux lèvres. Il marcha dans les rues de Tokyo avec une impression de puissance en lui. Il arriva devant chez lui et s’écria.

-Le monde peut commencer à trembler maintenant !

Il mit la clé dans la serrure et entra....


First conection finish

Hack 6X touch

Second connection : new menace...

La panique résonnait dans tout l’immeuble. Les appels téléphoniques retentissaient partout et les journalistes courraient dans tous les sens. Le code rouge était, pour ainsi dire, lancé. Le rédacteur en chef parlait au téléphone tout en continuant à tapoter son texte sur son ordinateur. Il avait le sourire jusqu’au lèvres d’apprendre la nouvelle. Il disait :

-Quoi ! La Banque Nippon Hana vient d’être complètement vidée de ses fonds. Aucune trace, ni rien. Vous auriez une idée de l’organisation qui vient de faire ça ? Rien.... À quelle heure a été commis le vol ? Vers 2h00... Il y avait des gardes ? Non.
Quoi ! Ils étaient là lors de l’attaque et ils n’ont rien pu faire ! Vous pensez donc que cela ne peut être qu’un vol informatique. Merci beaucoup. Au revoir.

Il raccrocha et soupira. Il finit d’écrire son texte et sortit de son grand bureau. La foule s’étant partiellement calmée, il se faufila facilement jusqu’à son secrétaire Général. Celui-ci écrivait un article sur son pc. Il ne remarqua même pas l’arrivée de son chef. Ce dernier lui mit la main sur l’épaule et lui demanda.

-Alors, Takiyama, t’a plus d’info ?

D’un sourire gêné, il se retourna et lui répondit.

-Oui, et non des moindres. Le ravisseur...

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que le rédacteur répondit surpris.

-Quoi ! UN ravisseur ! Mais c’est impossible. Un tel complot ne peut se faire tout seul. Et le système de sécurité informatique de la banque est un des derniers à la vente.
-Ben d’après la vidéo qu’on vient de recevoir, ça ne peut être qu’un ravisseur. D’ailleurs, ce message est assez inquiétant.
-Explique.
-Ben d’abord, Le ravisseur se nomme X et il se proclame comme le nouveau libérateur du monde. Et puis, il lance un défi à toutes les polices du monde pour essayer de le capturer. Mais d’après la vidéo...
-oui ?
-Ben... Il veut libérer la terre du chaos qui y règne.
-Mmh... ça ne plaira pas au gouvernement d’entendre ce discours. Comment il se nomme déjà ?
-X. Et je crois qu’on n’a pas fini d’entendre ce prénom.
-Voilà enfin un héros à la hauteur de nos espérances.
-Mais son projet est beaucoup plus facile à dire qu’à faire... Je lui souhaite bonne chance en tout cas.

Les deux journalistes sourirent et regardèrent le ciel noir à travers la fenêtre. Malgré les nuages noirs qui surplombaient le ciel, Un rayon de soleil se dégageait pour éclairer ce qui restait de la ville déchue...


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Yuu rit de tout son souffle. L’opération venait d’aboutir à merveille. Après cet essai, un sentiment de victoire et de supériorité affichait son visage d’ange. Il regarda l’écran de son ordinateur avec deux fenêtres ouvertes :
L’une affichait les comptes de l’ordinateur, l’autre affichait la une du journal Tokyo News.
Yuu la relit une seconde fois. Plus il la relisait plus il souriait.

« Le mystérieux pirate informatique X s’est dévoilé hier en dévalisant littéralement la banque principal de Tokyo : Nippon Hana. Une vidéo nous est ensuite parvenue dans la matinée décrivant les prochains plans de X. Il s’affiche maintenant comme, je cite, le prochain seigneur de cette terre. Il voudrait dans les prochaines années à venir débarrasser la terre du fléau guerre et corruption. Mais malgré ses airs de fou, il semble qu’un nouvel idéaliste est né sur cette terre.
Ce qui étonne le plus, c’est la manière dont il procède. Nous pensons qu’il doit utiliser un bon ordinateur, mais même un ordinateur laisse une trace informatique, mais les experts n’en ont trouvé aucune. Nous vous reparlerons de cette affaire dès que nous aurons du nouveau »

Josh, lui, était allongé sur le lit de Yuu en feuilletant des manuels informatiques. Il soupira et dit à Yuu.

-Bien que tu dises que la technologie a évolué depuis 10 ans, je remarque que mon ordinateur propose de bien meilleures choses que ces programmes de piratage futiles.
-Tu as raison, ton pc est bien meilleur. Et quelles sont les règles pour son utilisation ? Je ne pense pas que tu serais prêt à léguer cet objet à n’importe qui.

Josh pouffa de rire et continua à lire son manuel informatique. Il poussa encore plus son béret rouge sur sa tête et lui répondit sans un regard.

-Aucune règle spéciale n’est indiquée. Tu dois juste savoir que son utilisation ne fera plus de toi un être normal. Ce cadeau venu du ciel n’est rien d’autre qu’une machine de convoitise absolue. Rien que le fait de savoir que tu peux tuer quelqu’un attise les regards de tous. Prépare-toi à une guerre où tu devras distinguer tes amis et tes ennemis...

Yuu fut surpris par sa réponse et cacha ses beaux yeux noirs derrière ses cheveux blancs. Josh fut surpris à son tour et se leva de son lit pour s’approcher de Yuu. Alors qu’il lui mit sa main sur ses yeux en lui demandant si cela allait, Il releva violemment sa tête et ria de tout son souffle.

-Moi un ami ? Je ne m’appuierai pas sur des personnes futiles. Cet objet ne peut être partagé par n’importe qui. Le test d’admission sera dur.
-Tu es vraiment imprévisible. De toute façon, ce que tu feras de cet ordinateur m’importe peu. Je veux juste que tu sauves ce monde, quelle que soit la manière dont tu procéderas.

Yuu sortit une bière de son frigo et l’ouvrit à l’aide de ses clés. Il but une gorgée et regarda par la fenêtre la ville de Tokyo, bientôt sous son joug. Des éclairs tombèrent du ciel et la pluie tombait sur Tokyo, comme une pluie de flèche sur une armée. Il finit sa bière et se coucha sur son lit.

-je ne m’arrêterai pas là... tu peux compter là-dessus... Un nouveau soleil se lèvera sur cette ville de ténèbres...


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New York... Une des plus grandes cités du monde, pour son économie gigantesque et son pouvoir politique. Cela fait maintenant quelques années que le F.B.I s’est déplacé et la maison blanche aussi. Les membres du F.B.I, plus communément appelé tantei, traquent tous les criminels potables sous les ordres du président des Etats-Unis, un des plus grand homme véreux sur terre.

Le lieu du crime était simple : c’était la banque American bank qui venait de se faire vider de tous ses fonds. Les tanteis enquêtaient depuis maintenant deux heures en inspectant soigneusement tous les fichiers informatiques du centre.
Soudain, un homme au costume noir entra dans la banque. Tous les tanteis s’arrêtèrent et s’inclinèrent en sa direction. Il avait les cheveux qui descendaient jusqu’au cou, un peu en bataille et de belles lunettes de soleil. Dans son sac à dos, résidait son ordinateur portable qu’il ne quittait jamais. Il avança jusqu’au milieu de la pièce et dit à tous les tanteis.

-Messieurs... Le boss nous recommande tous pour la prochaine mission dont je viens de recevoir le fichier complet. J’espère que vous avez compris de quoi il en retourne. Asseyez vous tous.

Il alluma son ordinateur, et les emmena tous dans un bureau vide de la banque. Il les fit s’asseoir tous sur une chaise et prépara son matériel informatique.
Pendant ce temps, des murmures chuchotèrent dans la salle.

-C’est bien lui ?
-Oui, la meilleure unité de l’organisation, j’ai nommé Hyke.
-Il me paraissait plus vieux pourtant...

Hyke sortit alors un écran blanc pour afficher le fichier et lança son dossier.
Des dizaines de fenêtres s’ouvrirent alors sur l’écran avec des rapports et deux fichiers vidéo. Il sortit ensuite une baguette rétractable de son sac et la pointa sur une photo qui représentait X, caché sous son masque blanc. Il dit alors

-Comme vous le savez sûrement, un nouveau pirate informatique vient de se lancer dans la carrière de criminel depuis maintenant deux jours. Nous pensions qu’il ne s’attaquerait qu’au Japon, mais il semble qu’il veuille aller beaucoup plus loin.
Le boss m’a ordonné de commander toute la mission d’une durée pour l’instant indéterminée.
D’après mon rapport lors de mon voyage à Tokyo, aucune trace informatique n’a pu être identifiée et le réseau Internet non plus. Nous sommes en état de crise et nous ne devons maintenant épargner aucune piste. Me suis-je bien fait comprendre ?
-Oui.
-bien... Je vous laisse retourner à votre travail. Je vais me rendre maintenant à Tokyo pour enquêter de nouveau.

Il sortit alors de la banque et se retrouva dans une rue bondée de New York. Il sortit son portable et appela sa sœur.

-Inali... oui je vais partir pour deux semaines à Tokyo. A plus tard.

Il raccrocha et regarda le ciel noir de New York. Une nouvelle ère venait d’apparaître. Une ère de ténèbres et de combats sanglants.

-X... Tout ceci me rapprochera encore plus de toi...

Il disparut alors dans la foule New yorkaise, laissant les détectives à leurs affaires...


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Yuu allait tous les jours à l’université de Todaï, la plus fameuse université du pays. Il y apprenait le droit et l’économie pour son avenir de procureur. Le procureur est celui qui juge les criminels. Un métier parfait pour Yuu.
Après une journée embarrassante, Il décida de rentrer chez lui pour tester la fonction *die* de son ordinateur. Alors qu’il traversait une ruelle sombre du centre de Tokyo, il sentit une présence qui le suivait depuis ce matin. Il sourit et continua de marcher comme si de rien n’était jusqu’à un cul-de-sac. Il sourit et dit.

-Bon les détectives du dimanche, vous pouvez sortir. Ça fait déjà un moment que je vous ai repérés. Si vous voulez me dire quelque chose, c’est maintenant.

Une dizaine de détectives sortirent alors des murs des ombres de la ruelle. Ils se mirent en rang et regardèrent Yuu, sans voir leur visage. Ils lui dirent.

-Yuu Onokiri, tu es en état d’arrestation pour avoir semé le trouble à Tokyo et à New York.

Une goutte de sueur coula sur la joue de Yuu. Comment avaient t’ils pu savoir en si peu de temps que X se trouvait être Yuu Onokiri. Il avala sa salive et sortit son masque de la poche et le mit sur son visage. Il se retourna violemment et les pointa du doigt.

-Avant toute chose, dites moi qui est votre chef et comment avez-vous pu me retrouver aussi facilement !

Ils rirent en cœur et répondirent ironiquement à Yuu.

-Un chef... si tu veux le savoir, vient nous affronter...

Yuu sortit un flingue de sa veste et pointa le calibre sur eux. Ils disparurent des yeux de Yuu et réapparurent devant et derrière lui. L’un l’attrapa par les jambes, un autre lui fit une clé de bras, et un dernier lui enleva son pistolet. Ils le plaquèrent au sol et lui dirent.

-Tu es foutu Yuu Onokiri. Avoue ta défaite...
-Vous voulez rire j’espère...

De l’électricité émana de Yuu et électrocuta les trois détectives qui le tenaient violemment. Ils disparurent en fumée après l’attaque et Yuu pointa de nouveau son flingue sur les sept autres tantei. Il leur dit.

-Bon, je sais que vous n’êtes pas des détectives. Vous êtes des illusions comme les trois autres. Qui est votre chef ?

Soudain, un claquement de doigt se fit entendre dans la ruelle et les 7 détectives disparurent comme par magie. Yuu se retourna vivement et vit une silhouette au fond de la rue. Yuu sourit et dit à la silhouette.

-Alors... Toujours vivant... Hibiki...



Second connection finished

hOoOooO je veux la suit je suis trop fan !!!
Déjà que je suis trop fan de Death Note
^^ je veux trop la suit mais bon ca resemble vaiment a Death Note j'èspere que la suit serras un peu different
mais j'ai pas trop compris le mec en rouge il est vraiment en ose fin je veu dire il est pas dans l'ordi ou si ???
il est assie a coter de lui bon oké je me tais -_-'

Le mec en rouge comme tu dis s'appelle Josh d'une part ^^ et ensuite, il a mit son âme dans l'ordinateur. Il peux très bien ensuite apparaître comme un fantôme grâce à des hologrames aux yeux de Yuu uniquement. voilà ^^
j'ai déjà fait quatre chapitre, et je m'en vais poster le troisième ^^ vous verrez, ça se détache de death note de plus en plus.

Hack 6X touch

Third connection : conception of the world


Yuu regardait la silhouette, adossée au mur, du nom de Hibiki. Soudain, il bougea et s’étira les bras sous la lumière de la lune. Il avait des cheveux violets et longs. On pouvait ressentir dans ses yeux bleus une sagesse immense et une détermination sans borne. Il s’amusait avec son zippo et alluma enfin une cigarette. Il tira deux coups et dit à Yuu.

-Et oui... Je suis toujours « in alive » comme on dit dans notre bonne vieille Amérique... Et toi, comment vas-tu ?

Yuu ne répondit pas tout de suite. Le fait de savoir qu’Hibiki l’avait déjà démasqué le rendait nerveux et le faisait trembler constamment. Il serra le poing et leva la tête en sa direction. Il lui dit alors.

-Comment... comment as-tu découvert mon identité ? Je m’étais pourtant assuré d’avoir brouillé toutes les pistes.

Hibiki sourit et se gratta la tête. D’un sourire gêné, il lui répondit.

-Ben en fait... J’ai juste voulut te faire peur et ... c’est tout ^^’. Mais vu ta réaction... tu es bien X. Je savais que tu étais assez fort en informatique, mais à ce point pirater New York et la NHK... On peut dire que je suis chanceux.

Yuu ne venait pas d’en croire ses oreilles. Hibiki l’avait démasqué... juste en lui faisant une farce... Yuu se tint la tête avec une main et soupira.

-C’est désespérant..., pensa-t-il Hibiki se sentit encore plus gêné et soudain redevint aussi sérieux que tout à l’heure. Il regarda Yuu dans les yeux. Ils étaient devenus comme ceux d’un démon, rien à voir avec le Hibiki de tout à l’heure. Il s’approcha de Yuu à pas de lion et lui dit.

-Alors... le petit poussin veut prendre son envol interdit ? Tu sais que tu entres dans un chemin dans lequel se dressent les ronces d’ennemis plus fort que toi. Et puis, il ne m’étonnerai pas qu’*ils* commencent à bouger.... Que feras-tu alors ? Te battras-tu pour défendre tes idéaux ou avoueras-tu ta défaite dès le moindre petit obstacle ?

Yuu ne répondit pas tout de suite. Ses yeux, cachés par ses mèches blanches, ne semblaient verser aucune larme. Quand soudain, une dernière fit son apparition et coula sur sa joue. Elle tomba finalement sur la main de Yuu. Hibiki, surpris, mit sa main sur l’épaule et essaya de discerner son caractère. Soudain, Yuu rit faiblement, à peine pour qu’Hibiki entende, et leva la tête en direction de Hibiki. Son regard foudroyait celui d’Hibiki et semblait être devenu fou. Il ne pleurait pas... enfin il pleurait de rire. Il lui répondit.

-Je tracerai mon chemin de bêtes... Quoi qu’il arrive. Même avec le monde entier contre moi, je ne reculerai pas. Tu me connais assez pour savoir ça pourtant. Je suis têtue de par nature.

Hibiki rit d’un air ironique et s’éloigna gentiment de la ruelle. Il lui dit au revoir de la main et lui dit.

-Je crois que le monde vivra de nombreux changements... Je compte sur toi !

Il disparut dans l’obscurité de la nuit, laissant Yuu seul dans ses pensées et dans la ruelle. Il rangea son pistolet et sortit son ordinateur. Il s’assit contre une poubelle et soupira. Il commença alors à tapoter sur les touches et une fenêtre s’ouvrit. C’était les infos du soir et il venait tout juste de débuter.

-On nous informe qu’un groupe de terroriste chinois ont commencé à débarquer à Tokyo afin de retrouver le dénommé X et pour enfin s’allier. On démontre aussi qu’en Russie, des mouvements extrémistes sont nés durant la semaine dernière....

Yuu ne répondit qu’en seule à ça.

-Pff

Il ferma violemment son ordinateur et regarda sa montre. Il était 20h30 et la nuit ne faisait que commencer... Il remit son ordi dans son sac et commença à courir vers la sortie de la rue. Après dix minutes de course, il s’arrêta net et regarda la tour NHK de Tokyo, l’immeuble le plus haut du Japon, il commença soudainement à rire et s’écria.

-À partir d’aujourd’hui, tous ceux qui me chercheront me trouveront. Quel que détective que ce soit. Je jure que Tokyo et New York tomberont un jour !

Il disparut dans la foule de gens qui se promenaient dans la rue. Leur monde changera...

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-Vol 3615 en Partance de New York pour Tokyo dans 10 minutes messieurs dames.

Telle fut l’annonce du micro dans l’aéroport. Hyke était installé sur une banquette et lisait le journal. Des gamins jouaient autour de lui à cache-cache.
Alors qu’un enfant se faisait poursuivre par son ami, il rentra contre un Adulte d’a peu près 35 ans, accompagné de deux collègues. Ce dernier attrapa le gamin et le regarda droit dans les yeux. Il lui dit alors.

-Tu sais que tu viens de me faire mal là... Je peux te dire que ça va te coûter cher mon gars.

Le garçon, sous l’autorité du bonhomme commença à pleurer et lui répondit.

-Je suis désolé monsieur... On jouait à cache-cache et...
-Il n’y a pas de mais... Je crois que tu vas devoir recevoir une punition...
Il brandit le poing et le pointa sur le gamin. Alors qu’il allait frapper, Il sentit une main qui lui serrait l’épaule. Il tourna la tête et vit Hyke qui le regardait avec un regard de démon. Il lui dit.

-Lâche ce gamin...
-Et si je ne veux pas binoclard ?
-Tu vas rencontrer le gardien des enfers...

Il lui serra alors encore plus l’épaule. La brute se mit alors à crier tellement la douleur était forte. Il lâcha le gamin et se recroquevilla. Il cria alors à ses copains.

-Pêtez lui sa face de lunettes !

Ses potes se craquèrent les os de leur doigts et foncèrent sur lui. Hyke soupira.
D’une vitesse fulgurante il se baissa et envoya son pied dans la face du premier qui gicla d’au moins deux mètres. Alors qu’il était encore en l’air, Hyke apparut juste au dessus de lui et le renvoya au sol.
Le deuxième adversaire le regarda d’un air ébahie et ne bougea pas. Hyke apparut derrière lui et lui murmura à l’oreille.

-Veux-tu voir la puissance d’un démon en pleine action ?

L’autre rit et se retourna violemment pour le frapper, mais il s’arrêta net quand il vit son visage. Une seconde plus tard, il tomba au sol évanoui. Le chef regarda Hyke et sursauta.
Ses yeux étaient devenus rouge sang et une aura noire se dégageait de lui. Ils partirent alors en prenant sur leur dos leur copain. Le chef lui dit alors en partant.

-Sale démon ! Pourris en enfer.

Hyke regarda la bande de débile dégager et soupira.

-Pff...

Il remit ses lunettes et se dirigea vers le gamin qui pleurait. Il lui mit la main sur la tête et lui demanda.

-C’est bon ? Rien de casser ?

Le gamin releva la tête en sa direction. Hyke avait brusquement changé, ce n’était plus la même personne qu’il y a deux minutes. Le gamin sécha ses larmes et lui répondit d’un grand sourire.

-Oui. Merci beaucoup monsieur...
-De rien, c’est mon métier de faire une certaine justice dans ce monde...

Le gamin ne comprit pas ce qu’il venait de dire, mais lui répondit d’un sourire encore plus grand.
Hyke reprit alors sa valise et commença à se diriger vers le hall d’embarquement afin de prendre son vol. Alors qu’il marchait dans la foule, il entendit la voix du gamin derrière lui. Il se retourna surpris et le regarda.
-Comment vous appelez-vous monsieur ?

Hyke sourit et d’une voix sûre il lui répondit.

-Hyke...Hyke Summers... Et toi petit ?
-Ash. Comment vous remerciez pour ce que vous avez fait ?

Hyke se retourna alors. Il se remit à marcher et lui répondit en même temps.

-Supporte moi dans ces temps sombres qui approchent... Car maintenant je suis sûr. Si je me bats pour un gouvernement pourri, c’est parce que la justice se portera mieux avec ça qu’avec une anarchie totale...

Le gamin le regarda partir d’un air surpris. Il n’avait évidemment pas compris.
Il le vit alors disparaître dans le hall et resta seul au milieu du couloir.

Rolalalalalala je suis FACSINE !!!!!!!!!!!!

[ le chapitre 4 étant trop long, je mets la première moitié ici ^^]

Hack 6x touch

Connection 4 : Wake up...

La brume recouvrait entièrement le terrain vague, ne laissant aucune vue au-delà de 10 mètres. La terre s’humidifiait, commençant à devenir de la boue et à inscrire les traces de pas.
Le jour n’était vraiment pas à la bonne humeur.
Un homme passa le seuil du terrain et commença à s’immiscer parmi la brume ténébreuse. Il était vêtu d’un manteau noir, genre détective privé, et portait un chapeau de la même couleur. Ce qui était le plus frappant chez lui, ce fut la couleur de ses yeux. D’un rouge éclatant, ils semblaient écarter le brouillard d’un seul regard.
Son portable sonna et il répondit aussitôt. Une voix modifiée en sortait et perçait le silence de cet endroit. Elle lui dit alors.

-Alors, tu l’as enfin trouvé ?! , lui criait la voix

D’une voix assuré, le jeune homme au manteau noir s’arrêta et lui répondit calmement et sans mâcher un mot.

-Tu vas me poser encore combien de fois cette question ? Je t’ais dit rendez-vous au point initial. Tu attendras ta réponse là-bas...

-Marco, toi qui es un ancien tantei, ne peux-tu pas obéir à un ordre aussi simple ? Toi notre meilleur informateur, tu me sembles pas très qualifié pour ce genre de tâche.

-Écoute Agito, ce mystère qui plane autour de moi fait tout mon caractère et mon talent à trouver des informations. Alors viens bien sagement à ce rendez-vous et on réglera tout ça entre nous.

- Tu ne changeras jamais... Tu as des nouvelles de Ryû, de Aya et de Kyo ?

-Ils viennent aussi... J’ai traversé tout le Japon pour les retrouver. Tu as intérêt à leur faire bon accueil. Je te rappelle que la querelle de la dernière fois a coûté la destruction d’un quartier tout entier.

-Grr... C’est bon pas besoin de me rappeler ça. A plus.


Marco avança encore un peu et arriva devant un tas de déchets différents, allant de voitures aux simples armoires. Il monta légèrement le tas et trouva une vieille carcasse de lit. Il s’y coucha et regarda les nuages noirs flottant dans le ciel. Il ouvrit quelque peu son manteau et tira son chapeau. Il avait des cheveux bruns mi courts et la moitié de son visage était recouvert de bandages noirs, comme pour dissimuler quelque chose d’important.
Il retira son flingue de la poche prévue à cet effet et commença à le faire tourner autour de son doigt, tout en fumant un petit joint.
Il réfléchissait paisiblement et regardait le numéro inscrit sur son bras.
« Matricule 186664 »

-Vraiment des pourris ces flics... À quand notre liberté... X-34... Notre chef...

Alors qu’il continuait à jouer avec son flingue, on voyait dans ses yeux une certaine mélancolie et une lueur d’espoir. Il se releva et s’assit en tailleur sur le pseudo matelas sur lequel il était harassé depuis tout à l’heure. Il commença alors à tirer sur les barrières de bois et semblait vouloir inscrire quelque chose par la même occasion. Au bout d’une vingtaine de tir, on pouvait voir inscrit dans le bois, le mot : « Destinée »
Tel était le pseudo de Marco, que l’on retrouvait souvent lors de piratages informatiques importants.

-Quand je repense au passé, je crois que je n’aurai jamais dû m’embarquer dans une telle aventure...

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Le chantier du nouveau bâtiment de la nouvelle tour de télévision n’était qu’au commencement. Il n’y avait que les poutres en béton de l’immeuble, laissant apparaître la forme prochaine de la tour.
L’aube apparaissait à l’horizon et les rayons du soleil touchaient la construction. La journée s’annonçait propice au renouveau et à la guerre. Le monde avait changé depuis quelques temps, un homme apparaît et déjà les mouvements de révolution se mettaient en marche. Bientôt, un nouvel ordre naîtra des cendres du passé.
Sur la plus haute poutre, se tenait un jeune homme d’au moins une quinzaine d’année. Il était habillé d’un training de sport bleu et d’une veste de sport bleu également. Il avait sur son œil droit une sorte de bandage, lui voulant complètement la partie droite de son visage. Il regardait le soleil se lever et riait en même temps. Son œil gauche était d’une couleur rouge somptueuse, tel une flamme qui se ravivait en voyant le lever du soleil.
Il leva ses bras et commença à dire.

-Le monde change sans que nous mettions notre grain de sel. X, tu commences sans nous... Tu n’es vraiment pas fair-play. Quand à toi Yuu, tu disparaît sans nous laisser une seule trace de toi. Mais au fond, ça m’arrange. Ca me permet d’être le chef de ce petit groupe d’extrémistes.

Le Gamin fit alors apparaître dans sa main droite une boule de lumière et de l’autre une sorte de kunai en lumière dorée, ressemblant étrangement à l’aube qui commençait à s’étendre.
Il s’approcha du bord de la poutre et commença à se laisser tomber, sans regarder le sol et sans réfléchir à ce qu’il faisait.
Une lumière s’alluma alors sous ses chaussures et il commença à glisser le long de la poutre, tel qu’un gamin faisait du roller sur du béton. Il rouvrit alors subitement ses yeux et entreprit cette descente de 500 mètres de hauteur. Il sautait entre les poutres, avec toujours autant d’agilité et de concentration. Entre deux sauts, il lançait un kunai sur une poutre et la faisait exploser. Il réduisit ainsi le chantier en état de cendre.
Au milieu de la descente, il sortit son baladeur et l’alluma. Il mit sa musique préférée et ferma les yeux. Il était entré dans un autre univers...
Il continua de descendre sans regarder la piste et se concentrait uniquement sur la chanson.
Arrivé en bas, la lumière sous ses chaussures disparut et les kunai firent de même. Il enleva ses écouteurs et regarda le champ de ruines qu’il laissa derrière lui. Il se mit à rire et cria à tue-tête.
-Haha... Au moins je n’ai pas perdu la main après cinq ans. Il est de temps de reformer notre équipe d’antan. X, je te promets que tu vas me donner ces réponses.

Il sourit et s’en alla du chantier, complètement décimé par sa petite descente. L’air était poussiéreux, et Agito ne semblait pas avoir perdu sa matinée. Il était toute fois anxieux par les évènements qui se déroulaient en ce moment. La situation n’était rose pour personne, et personne ne pouvait prédire ce qui se passerait dans les prochains mois à venir.
Au bout de 20 minutes de *promenade* dans les rues, il atterrit dans une petite ruelle dans issue. Il s’arrêta soudainement et fit sortir de la lumière comme tout à l’heure de ses pieds et de ses mains et dit à tue-tête.

-ça tombe bien, je n’ais pas encore fait mon sport de la journée. Une petite course, messieurs les détectives ?

Il partit alors comme une flèche à l’intérieur de la ruelle. Des hommes en noirs, vêtus d’un manteau à col long, sortirent des murs. Ils commencèrent à poursuivre Agito en courant. Malgré le fait qu’ils ne possédaient pas de véhicules de transport, ils parvenaient tout de même à pister le hacker. Agito se retournait de temps en temps pour surveiller ses poursuivants et sourit. Il sauta alors en zig zag sur les murs de la ruelle jusqu’à arriver au toit du bâtiment. Mais il savait très bien que cela ne les arrêterait pas. Ils apparurent alors sans surprise derrière Agito. Il sortit alors de ses manches longues ses kunai de lumière et en balança partout afin de les faire s’éloigner. Il s’agrippa alors à une gouttière et descendit l’immeuble, continuant ensuite sur une barrière en métal pour traverser tout le boulevard perpendiculaire à la ruelle. Les tantei furieux se mirent alors à courir de plus en plus vite afin de l’attraper. Agito les provocant toujours plus.

- Alors messieurs, on n’est pas capable d’attraper un pro du street riding ? Je commence sérieusement à m’ennuyer.

Soudain un tantei apparut subitement devant lui et le renvoya contre un mur d’un simple coup de pied retourné. La tête d’Agito frappa violemment le mur, faisant gicler un peu de sang contre la paroi. Il releva difficilement les yeux et aperçut les quatre détectives qui l’observaient comme un chien errant.

- On pensait t’avoir plus péniblement, mais en fait tu n’es qu’un rideur de pacotille. Au nom de la loi, nous t’arrêtons pour cause de hackage illicite et de destruction d’immeuble.

Agito ne semblait n’avoir plus de force, mais on voyait dans son sourire aux crocs démoniaques et dans ses yeux une certaine ironie. Il serra le poing et pointa du doigt le chef des détectives.

-Vous êtes vraiment des imbéciles, vous faire avoir comme des débutants... Adios les gars !

Agito commença à se séparer bizarrement. On comprit alors que ce n’était qu’un hologramme généré par une machine étrange. Ils commencèrent à s’affoler, cherchant dans les environs où est ce qu’il pourrait se cacher. L’un deux se retourna vers une cheminée de l’immeuble et vit une ombre collée contre. Il faisait tourner autour de son doigt un kunai de lumière et rit ironiquement en même temps. Il leur dit alors.

-Baka...
Une pluie de kunai de lumière s’abattit alors sur eux, les transperçant de toute part. Un peu de sang gicla sur le visage d’Agito, lui recouvrant entièrement le visage. Il rit alors d’un rire vraiment psychopathe et essuya de sa manche le liquide. Il s’envola alors sur un fil électrique et regarda le quartier où il était.
C’était le quartier de Shibuya, un quartier maintenant abandonné pour cause du manque de technologie. Il se mit à genou sur le câble et regardait le terrain vague où il avait rendez-vous.
Il sortit alors une cigarette et l’alluma grâce à la chaleur émise par son kunai. Il tira un coup et regarda la lumière émanant de ses chaussures.

-Je me demande vraiment comment j’ai pu atterrir ici. Tout ça, c’est ta faute Yuu ! Si seulement tu n’avais pas existé.

Il disparut alors jusqu’au lieu de rendez-vous.
Marco se tenait toujours sur son lit de fortune. Il s’ennuyait du retard des autres. Sans jeter un regard en direction de l’entrée, il avait déjà sentit la présence meurtrière d’Agito. Sans attendre de question de sa part, il lui répondit.

-Je sais ce que tu vas me dire. Non, ils ne sont pas encore arriver. Mais ça ne devrait pas tarder. Tu as encore été poursuivit ?

-Ouais, mais cette fois ils étaient bizarres. Ils étaient beaucoup plus puissants que la dernière fois. Ils ont appelé leurs meilleures unités. On devrait faire gaffe.

-Et c’est toi qui me dis ça ? Toi le plus meurtrier de notre bande ? Tu dois vraiment être consterné par autre chose pour me dire ça. Et puis, éteins cette cigarette. C’est mauvais pour la santé.

Il prit alors son pistolet et tira sur la clope d’Agito. Celui-ci rit et répondit à Marco.

-Personnellement, je crois que c’est le fait de me battre contre des gars comme eux qui est mauvais pour la santé.

Sans prendre ça à la rigolade, Marco lui répondit sans expression.

-Ouais, t’a peut-être raison...

Ils s’assirent alors l’un à côté de l’autre et admirèrent le soleil continuant à se lever.

[ voilà la fin du chap 4 ^^]

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L’ambiance de l’avion fut morose durant tout le voyage. Les touristes discutaient de leurs prochaines vacances, et les mêmes terroristes préparaient leurs bombes.
Mais malgré une bagarre avec ces derniers et une stewardess pas si belle que ça, Hyke avait apprécié le plateau-repas et la sieste qu’il avait faite.
Il arriva enfin dans la cité de Tokyo, connue aujourd’hui pour ses mouvements révolutionnaires. L’air était presque le même qu’à New York, même si l’air et la tradition asiatique y régnait encore dans les habitudes des gens.
Il regarda sa montre et soupira.

-Moi qui comptais être à l’hôtel pour 17 heures, je crois que c’est loupé. Mais bon, j’ai plus important à faire que de soupirer pour ça.

Il refit sa cravate et appela un taxi d’un signe de main. Il marchanda avec le vieux conducteur et s’assit sur la banquette arrière. Le chauffeur se retourna et demanda à l’américain.

-Alors m’sieur l’étranger, où est-ce que je vous pose ?

-Amenez-moi à l’hôtel royal s’il vous plaît. Et le plus tôt sera le mieux.

-ça marche ! Sans me mêler de vos affaires personnelles, je vois bien que vous n’êtes pas d’ici. D’où venez-vous ?

Hyke trouva le chauffeur indiscret et quelque peu rapide sur les questions. On l’avait déjà questionné à ce propos à l’aéroport. Comme quoi les Japonais sont des gens qui voient peu d’étranger. Malgré le fait que Tokyo entreprenait une grand américanisation ces derniers temps.
Il soupira et lui répondit brièvement.

-De New York...

Ironiquement, le chauffeur sourit et se tourna vers son volant et mit le contact. Il lui dit alors.

-Vous savez, les étrangers sont mal vus en ce moment, en particulier les Américains. Faites gaffe mon brave.

La voiture démarra et se dirigea vers le lieu de repos du détective. Le trajet fut court, mais assez percutant pour Hyke. La ville vivait en ce moment des mouvements révolutionnaires, mais également une vague de pauvreté importante. 35 % des Japonais étaient sans boulot et le taux de criminalité ne faisait que s’envoler. La situation n’était vraiment pas excellente, voire dramatique. Il serra ses poings, et pensa.

- ça ne peut plus durer comme ça, même si X a raison dans certains arguments, le fait de vouloir amener l’anarchie empira plus la situation de ces gens. Je dois l’arrêter, quelque soit le prix à payer.

Au bout d’un quart d’heure, il arriva enfin à son hôtel. Il descendit de la voiture et admira le meilleur hôtel du pays. Une fierté internationale à travers l’Asie. Il donna son pourboire au conducteur et commença à prendre ses bagages. Alors qu’il allait entrer dans le bâtiment, le chauffeur lui dit à travers la fenêtre ouverte.

-Surtout, faites attention à vous...

On sentait bien l’ironie d’un type comme lui. Hyke ne répondit pas tout de suite à la provocation. Il savait que cela pourrait empirer sa visite ici. Il se contenta d’un seul mot.

- D’accord...

La voiture partit dans une autre direction, laissant Hyke seul au milieu d’une cité qu’il ne connaissait pas. Il rentra dans l’hôtel.
Le plafond était d’une couleur rouge magnifique, et les tapis de la pièce étaient superbes. Il se dirigea vers la réception, tenue par une très jolie jeune fille. Il s’approcha d’elle et lui dit.

-J’ai réservé une chambre au nom de Wells.

La jeune fille fut très charmée par son charme naturel, et son côté méchant garçon. Elle lui répondit timidement, fouillant dans les tiroirs des réservations.

-Voilà... Roy Wells. C’est bien vous ?

-Oui, quelle chambre ?

La jeune fille était débutante dans le métier, on le voyait bien dans ses gestes et ses erreurs de réception. Elle lui tendit une carte magnétique et lui demanda.

- Chambre 307. Si il y a une chose que je puisse faire pour m’excuser de mon retard...

Hyke approcha sa bouche de l’oreille de la réceptionniste et lui répondit.

-Chambre 307, 20 heures ce soir...

La Fille devint rouge comme une tomate et lui répondit avec un petit sourire.

-Je... Je... D’accord... À ce soir Roy...

Hyke partit de la réception, carte de la chambre dans la main et se dirigea vers la cage d’ascenseur. Il pensa.

-Une de plus, faudrait que j’arrête ce genre de sport...

Il monta de trois étages, alla vers sa chambre, et entra dans son domicile temporaire.
La chambre était grande et presque plus somptueuse que la réception. Il posa ses affaires sur une chaise et se coucha sur le grand lit. Il regarda la pièce et se dit.

-Le FBI assure quand il s’agit de loger ses effectifs. Roy Wells, ils auraient quand même pu trouver un nom un peu mieux comme identité d’emprunt. Mais bon... Demain, c’est la guerre qui commence. X, je t’aurai !

Il s’endormit sur son matelas, oubliant de retirer ses lunettes. Il regarda par la fenêtre en même temps, apercevant ainsi le quartier le plus riche du pays.

-Inali, j’espère que tout se passe bien à la maison. Petite sœur...

Il s’endormit les bras de Morphée, afin de patienter jusqu’à son rendez-vous de tout à l’heure et surtout jusqu’à la journée de demain.
La guerre pour la paix sera rude, même si aucune des justices de chaque camp n’est parfaite.

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L’ambiance était rude dans la salle. Les dirigeants du FBI discutaient depuis déjà des heures, et rien n’avait toujours été décidé. Les débats n’avaient jamais été le terrain de chasse de l’organisation. Rien ne valait mieux qu’un combat pour discuter. Aucun homme n’aurait voulu se retrouver ici.
La question du jour était d’ailleurs un sujet que personne n’aimerait débattre. Que devais faire aujourd’hui le FBI pour arrêter ce dénommé X ?
Mais les discutions partaient vraiment en discutions diplomatiques.

-Vous savez très bien que si nous attaquons le Japon comme ça, nous aurons de gros problèmes de relations entre nos deux pays. Et nos agents se font décimer de façon étrange. Le dernier rapport nous parle de : « arme de lumière et déplacement urbain avec des rollers de lumière généré par une énergie inconnue ».
Je vous demande messieurs, que devons-nous faire ?

Tels furent les propos tenus par le chef des troupes du FBI. Le directeur étant absent aujourd’hui, la séance était moins explosive que prévue.
Les différents dirigeants se disputaient sur la question.

-Nous perdrons des relations importantes certes, mais la perte du contrôle que nous avons sur le monde et l’anarchie totale valent-elles ce prix ? N’oublions pas que le seul argument que nous avons pour une relation avec le Japon est la matière première que nous trouvons là-bas.

-Oui, mais le Japon reste un pays puissant militairement. Si nous menons une attaque, nous risquons de nous faire écraser par les troupes d’élite du Japon. Laissant la place à ces hackers, dont je ne sous-estime pas la puissance.

Soudain une jeune fille se leva. Elle portait un uniforme de travail représentant bien le FBI et ses cheveux bruns éblouirent la salle entière. Ses yeux étaient d’un bleu saphir magnifiques pouvaient rendre n’importe quelles filles jalouses.
Elle posa ses mains violement ses mains sur la table de réunion et dit.

-Je crois que vous avez oublié que le criminel est seul. Mon frère Hyke peut très bien s’en charger tout seul. Je vous rappelle qu’il a résolut bien d’affaires de ce genre plus d’une centaine de fois. Mais malgré ça, ne croyez-vous pas que ce X a toute fois assez raison de nous barrer la route comme ça ?

Tout le monde se tut d’un coup. Les propos tenus par cette Jeune fille étaient d’une importance capitale. Pourquoi une des dirigeantes du FBI soutiendrait un criminel comme un autre. L’un des chefs se leva et lui cria.

-Vous vous rendez compte de ce que vous venet de dire Madame Inali. En temps que vice directrice, je crois que vous ne faites pas bien votre travail.

-Monsieur Kyle, je dis qu’il n’a pas tort dans ses jugements envers notre gouvernement. Mais cela n’empêche pas le fait qu’il ne reste qu’un simple criminel à éradiquer. Réfléchissez un peu à ce que je viens de dire. Êtes-vous vraiment satisfait de vivre dans un monde aussi délabré que le nôtre ?

Un secrétaire qui se trouvait au fond de la salle était assez étonné d’un tel débat. Pourquoi une des personnes les plus influentes sur terre était du côté d’un criminel comme X.
Il s’approcha d’un de ses collègues et lui demanda.

-Mais qui est cette dame, chef ?

Son supérieur rigola doucement et se retourna vers son collègue et lui répondit un peu rapidement.

-Elle ? C’est le vice directeur du FBI, un des piliers de cette organisation. Elle a toujours été comme ça. Elle essaie toujours de faire revenir dans les dossiers des criminels les motifs qui les animent. Pourquoi d’après toi des terroristes prennent en otage des gens innocents ?

-Je ne vois pas trop.

-Ben c’est le seul moyen qu’ils ont pour faire passer leurs idées. Personne ne veut les écouter et ils sont bien obligés de trouver le moyen de parler avec le gouvernement, même si leurs méthodes sont parfois brutales.

-C’est vrai qu’en réfléchissant, elle n’a pas tort. X cherche à rendre ce monde meilleur. Mais quelque soit son motif, cela reste un criminel contre l’état.

-Et toi, n’est tu pas contre le monde d’aujourd’hui ? Pense tu vraiment que l’état est juste ? Moi je suis tout à fait d’accord avec ses idées, et je ne pense pas être le seul vois-tu.

Mais pendant qu’ils discutaient, le débat était toujours électrique. Inali ripostait avec entrain au jugement des autres. Elle cria soudain pour demander le silence et dit.

-Messieurs, d’après ce que j’ai entendu aujourd’hui, je crois que la meilleure solution est de laisser Hyke nous envoyer son prochain rapport. Et puis si la situation dégénère, je n’hésiterai pas à * les * appeler.

Le mot * les * intrigua la salle entière. Voilà 5 ans que le FBI les avaient classés top secret et qu’ils ne les avaient plus utilisés. Peut-être le moment était-il venu...

-Messieurs, je clos la séance d’aujourd’hui. Nous laisserons le directeur décider des mesures supplémentaires.

Elle prit le dossier de la réunion et se dirigea normalement vers la porte de sortie. De ce débat, les chefs n’auront notés qu’une chose primordiale : est-ce que Inali était digne de confiance ?
Tout le monde commença alors à se lever et à partir. Peut-être que le directeur aurait des choses à rajouter, mais pas aujourd’hui.
Le monde était vraiment vivable en ce moment ? Telle est la question que tout le monde se posait maintenant.
Au bout de dix minutes, la salle fut vide, comme si il n’y avait rien eut.

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L’appartement était grand et somptueux. On aurait pu croire que toute une famille entière y logeait, mais seul deux personnes l’habitaient. Depuis la terrasse, on voyait tout New York et la statue de la liberté, aujourd’hui à moitié détruite.
Sur le lit d’une petite chambre, un ordinateur chargeait un long fichier, maintenant presque terminé.
La porte de l’appartement s’ouvrit, et ce n’était personne d’autre qu’Inali qui rentra.

-Pff, encore une journée ennuyeuse...

Elle jeta ses affaires sur une chaise et sauta sur son lit. Elle roula dans tous les sens sur le matelas, criant.

-J’ai faim, j’ai faim, j’ai faim ! Et Hyke qui n’est même pas là pour me faire à bouffer... C’est pas juste !

En réunion, Inali était du genre à ne pas négliger son travail et à rester sérieuse dans n’importe quelle situation. Mais là, c’était tout le contraire.
Elle s’arrêta de rouler sur le matelas et regarda le plafond blanc de l’appartement. La ventilation de l’endroit était parfaite, juste assez froide pour s’endormir tranquillement.
Même si New York faisait des efforts écologiquement pour garder une cité propre, il n’empêchait pas le fait que les nuages noirs étaient toujours là.

-La situation ne peut plus durer. Même si tout le monde pense que X est un fou furieux qui recherche une utopie, je suis à 100% d’accord avec lui. Le monde est pourri...

Voilà un propos qui n’était pas inconnu à Yuu. Elle avait le même caractère d’esprit que lui, voulant changer ce monde à tout prix.
Elle s’approcha de l’ordinateur et regarda son fichier qui se téléchargeait. Il était maintenant finit. Elle tapota son ordinateur et lança en marche son dossier.
Deux fenêtres apparurent, elles ressemblaient à des dossiers criminels récents, avec leurs photos et description.

-Mmh... Parmi les hackers que nous avons repérés à Tokyo, c’est ces deux qui retenus nos intentions. Pour cause, ils viennent les deux de *là-bas*. Mais si nous avons bien compris, ils risquent d’être plus que deux...

Elle posa alors son ordinateur sur son lit et se dirigea vers une petite pièce entre la salle de bain et la chambre. Elle en sortit deux minutes plus tard, après avoir changé complètement de vêtement.
Au lieu de son uniforme composé d’un pantalon noir et d’une veste noire avec un chemiser blanc, elle portait maintenant une jupe courte et un nouveau chemisier blanc, lui laissant son décolleté sortir un peu.
Elle retourna près de son lit et commença à utiliser le programme qu’elle venait de télécharger. Elle commença alors pendant une heure à déjouer les circuits du programme pour enfin à aboutir à ce résultat : elle avait enfin réussit à rendre son ordinateur plus puissant, lui permettant d’accéder à la trace informatique de X.

-Bien, je n’ai plus qu’à appuyer sur * enter * et le tour est joué...

Elle tapa alors fermement le bouton, avec beaucoup de satisfaction. Car après tout, elle avait passé pas mal de temps à trouver le moyen de contrecarrer X de cette façon.
L’écran devint alors noir, ne laissant plus rien apparaître. Des chiffres rouges défilèrent alors partout sur l’écran. Seul 12 symboles restèrent inscrit au centre de l’écran :
« X.X.X X.X.X X.X.X X.10 »

Inali n’en revenait pas une seconde. Seul deux chiffres avaient été décodés, et le reste était indéchiffrable. Inali était stressé, et des gouttes de sueur ne tardèrent pas à apparaître.

-C’est... c’est... c’est pas possible ! Un ordinateur industriel ne peut pas avoir un I.P comme ça ! La suite de nombres devraient en toute logique commencer par 1.2. Mais là... Que des X. Sauf le nombre 10 à la fin, mais il ne me sert quasiment à rien.

Elle commença à frapper son matelas, devenant de plus en plus folle en revoyant ça. Au bout de trente secondes, elle finit par rire de toutes ses forces. Elle dit alors.

-Je crois que c’est mieux comme ça après tout. X a construit son propre ordinateur et sa propre I.P. Mais je ne peux pas localiser un ordi avec des coordonnées pareilles. Mais il y a une chose que je puisse faire...

Elle commença alors à tapoter un immense texte sur son clavier. Même après cinq minutes, elle n’avait toujours pas finit.
Après avoir terminé, elle soupira et regarda sa montre.

-22 heures... Il est tard quand même. Je crois que je devrai aller me coucher. X... Je crois que je t’aime encore plus grâce à ça. Tu peux peut-être penser que je cherche à t’arrêter, mais c’est faux. Je veux juste d’aider à changer ce monde. Mais je sais que tu es entouré d’ennemi, mais moi, c’est d’un ennemi peu commun que je suis entourée... Frérot...

Elle s’enfourna dans sa couette et s’endormit, pour être en forme pour la journée qui l’attendait le lendemain...

Mon dieu !!!!!!!!!!!!!
je suis limite a devenire fan !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!